Le soir même, il rencontre le directeur du journal. […] Un soir, Paul Duplessis, fournisseur ordinaire du feuilleton de la Patrie, venait de se rendre au Divan Lepelletier, un cénacle où il fréquentait assidûment. […] Ils ne peuvent cependant m’enlever le goût de la bonne et saine littérature, et chaque soir je prends sur mes nuits une heure ou deux pour lire quelques pages de la Revue des Revues ou à son défaut quelque ouvrage sérieux.