dites-moi, quand sur l’herbe fleurie Glissent, le soir, les brises du printemps, N’est-ce pas un accent de sa voix si chérie, N’est-ce pas dans les bois ses soupirs que j’entends ? […] Plusieurs des rédacteurs, jeunes gens de salons, qui connaissaient et rencontraient tous les soirs le maréchal, se récrièrent.