Les Méditations avaient paru le soir du 13 mars 1820. […] Un soir, tout comme aujourd’hui. […] Je le vis cependant un soir, après la mémorable journée du 16 avril 1848 ; journée inconnue et mystérieuse, où tout fut sauvé par ma confiance dans le peuple seul contre ce qu’on appelait faussement le peuple. […] Je songe à vous le jour et la nuit. » Je le remerciai et je le rassurai en lui affirmant que, si la Providence me laissait encore quelques heures de travail avant le soir, j’étais sûr de suffire à tout et de ne laisser personne dans la peine ou dans l’embarras après moi, et j’entrai avec lui dans quelques détails de coin du feu. « Ah !