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616. (1898) XIII Idylles diaboliques pp. 1-243

Mais ce n’est rien encore… Quels souvenirs de chevelures parfumées tu mets dans la brise languissante des soirs de printemps ! […] — C’est le soir du même jour. — Il passe dans l’air comme un ouragan de sanglots. […] Le vent du soir naissant commence d’agiter les feuillages. […] Le soir venu, si je me sens fatigué ou si je me trouve trop loin de chez moi, je soupe et je couche à la première auberge rencontrée… Tiens ! […] C’est pourquoi j’ai invité, ce soir, à souper le baron Ghetto, roi de l’Or, promoteur de loteries universelles où s’engloutirent les épargnes de trois générations ; M. 

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