Le fait est que j’ai peur pour ce soir, et que je me couche jusqu’au dîner. […] Je redoute le soir, où on me dira : On ne vous joue plus, tel jour, et cependant je l’appelle ce jour, où on me dira cela. […] Et il laisse entendre, que le soir, à Médan, il ferme ses fenêtres, avec certaines combinaisons hermétiques. […] — Si nous allions ce soir au spectacle ? […] Je m’en vais dîner, ce soir, chez la princesse, à pied, par un beau froid noir.