Jacques Madeleine réclame gentiment « un brin du grand laurier »….Un brin, non, mais tout un vert rameau des arbres saints qui, dans la poudreuse Attique, triomphent toujours près de l’Ilissos desséché ou qui s’inclinent, les soirs de printemps, vers les femmes de Mégare dansant au crépuscule, sinueuses, aimables et fières comme leurs aïeules du temps d’Hélène et comme les libres strophes de M.