Et nous, qui lisons, tous les soirs, le journal Le Soir, n’avons songé, ni l’un ni l’autre, à regarder ce qu’avait fait la Bourse. […] Le lendemain, nous offrons dans une lettre au ménage, 400 francs, tout l’argent que nous avions dans le moment à notre disposition, et cela par acquit de conscience et sans la moindre espérance, quand, le soir, le mari et la femme, et même le petit enfant au sein de sa mère, nous apportent le dessin sur lequel nous ne comptions pas.