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225. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. EUGÈNE SCRIBE (Le Verre d’eau.) » pp. 118-145

Une Nuit de la Garde nationale, puis le Comte Ory, le Nouveau Pourceaugnac, annoncèrent qu’un homme d’esprit de plus était trouvé pour payer son écot dans les gaietés de chaque soir. […] La comédie contemporaine n’est plus chez vous, pouvait-il dire au Théâtre-Français, elle est toute où je suis, dans l’Héritière, dans la Demoiselle à marier, dans cette foule de pièces chaque soir écloses, que chacun nomme et que je ne compte plus. […]  » J’arrache cette page d’aveu du calepin d’un ami. — Oui, c’est bien là, c’est à quelqu’une de ces jolies pièces qu’on va de préférence le soir où l’on n’est ni trop égayé, ni trop guindé ; après un dîner où l’on n’était pas seul, où l’on n’était pas plusieurs, on va voir la Quarantaine. […] Il ouvrit la brèche dans Bertrand et Raton (novembre 1833), et récidiva avec plus ou moins de bonheur dans les quatre ou cinq pièces suivantes, et en particulier dans les Indépendants, dans la Calomnie, et l’autre soir en tout éclat dans le Verre d’eau.

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