Viveur, je l’eusse placé à côté de ses confrères, représentants de l’antique gaîté, fous de bon aloi, buveurs sincères, qui ne faisaient pas de chansons sociales et philosophiques et ne voyaient rien au-delà de leurs joyeux refrains.
Viveur, je l’eusse placé à côté de ses confrères, représentants de l’antique gaîté, fous de bon aloi, buveurs sincères, qui ne faisaient pas de chansons sociales et philosophiques et ne voyaient rien au-delà de leurs joyeux refrains.