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541. (1825) Racine et Shaskpeare, n° II pp. -103

Je ne veux pas être un de ces hommes qui attaquent les choses ridicules que les gens bien nés sont convenus de laisser passer sans mot dire dans la société. […] Je dirai donc aux poètes comiques, s’il en est qui aient un vrai talent et qui se sentent le pouvoir de nous faire rire : Attaquez les ridicules des classes ordinaires de la société ; n’y a-t-il donc que les sous-ministres de ridicules ? […] Vous ne demandez plus de cet homme que vous rencontrez dans la société à Dijon ou à Toulouse : Quel est son ridicule ? […] En attendant ce hasard heureux et vu les critiques amères dont les Chambres et la société poursuivent les hommes du pouvoir, ce qui ne les met nullement d’humeur à permettre la plaisanterie, essayons la tragédie romantique au théâtre. […] Le Parisien ne respecte que l’opinion de sa société de tous les jours, il n’est dévoué qu’à son ameublement d’acajou.

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