Cette littérature, jusqu’ici, a toujours été abandonnée à elle-même, et elle s’en est mal trouvée : la société aussi s’en est mal trouvée. […] Les deux Sociétés pourraient être considérées comme étant comprises dans la dénomination générale. […] Et quant à la direction morale à indiquer aux travaux de l’esprit, il suffirait peut-être d’une fondation annuelle par laquelle on proposerait des sujets à traiter soit pour la poésie, soit pour la prose, des sujets nationaux, actuels, pas trop curieux ni trop érudits, mais conformes à la vie et aux instincts de la société moderne. […] S’ils s’obstinaient à rester en retard sur la société et à fermer les yeux à ce qui est, une telle institution élevée tout en face les vieillirait vite, et dans tous les cas elle les avertirait.