D’abord je ne m’éloigne que pour peu de temps, et je pars avec une société charmante et de la façon la plus agréable ; en second lieu, je suis convaincu qu’après avoir cédé à cette dernière fantaisie, après avoir satisfait à ce désir de voir de nouvelles contrées et de nouveaux peuples, j’en reviendrai à la vie la plus calme et la plus casanière. […] Isolé par sa surdité et son mutisme de la société des autres hommes, il avait grandi dans l’isolement comme un arbre vigoureux sur une forte terre.