Il ne faut pas considérer Marot comme un simple poète de cour, agréable flatteur un peu prolixe, malicieux épigrammatiste un peu aigu, et joyeux conteur un peu abandonné. […] Il l’est par la sobriété avec laquelle il parle de lui ; par le ton absolument simple et uni dont il parle de ses plus grands, de ses plus admirables ouvrages. […] Je suis très bien reçu chez le duc, très bien ; mais cependant comme un simple prêtre, bien obscur. […] Il manque ici une préparation, ou un simple raccord arrangeant les choses et prévenant l’objection, quand même ce serait sans la détruire. […] Ceci c’est le roman conventionnel, c’est le roman romanceux, c’est, pour parler plus simple, le roman suranné ; ce n’est pas le roman romanesque.