Un ouvrage assez piquant d’Agrippa d’Aubigné, distinguait, il y a plus de deux siècles, l’être et le paraître, en faisant le portrait d’un Français, le duc d’Épernon. […] On ne verra plus rien de pareil en France avec un gouvernement d’une autre nature, de quelque manière qu’il soit combiné ; et il sera bien prouvé alors que ce qu’on appelait l’esprit français, la grâce française, n’était que l’effet immédiat et nécessaire des institutions et des mœurs monarchiques, telles qu’elles existaient en France depuis plusieurs siècles.