Ce siècle avait tant fait, qu’il fallait bien qu’il laissât quelque chose à faire à l’avenir. […] Indépendant des considérations du siècle, il annonce les oracles de l’éternité. […] Notre siècle, un siècle d’ignorance ! […] Le siècle présent est celui des philosophes. […] » Vous m’apportez, Mylord, l’exemple de Pierre-le-Grand, qui a fait naître les arts dans son pays, et qui est le créateur d’une nation nouvelle ; vous me dites cependant que son siècle ne sera pas appelé dans l’Europe le siècle du czar Pierre : vous en concluez que je ne dois pas appeler le siècle passé le siècle de Louis XIV.