Je fais ces remarques à regret ; mais ce serait conniver à un vice trop général que de les taire ; car ce n’est point seulement à l’estimable historien de la princesse des Ursins qu’elles s’appliquent, c’est à la plupart de ceux qui s’occupent aujourd’hui, avec tant de ferveur et de zèle, du xviie siècle.