Seulement, dans le judaïsme, ces créations devaient rester des spéculations particulières et libres, tandis que dans le christianisme, à partir du IVe siècle, elles devaient former l’essence même de l’orthodoxie et du dogme universel. […] Jésus ne se rétracta pas ; il ajouta seulement : « C’est l’esprit qui vivifie.