………………………………………… Contente-toi de dire : — il est, puisque la femme Berce l’enfant avec un chant mystérieux ; Il est, puisque l’esprit frissonne, curieux ; Il est, puisque je vais le front haut ; puisqu’un maître Qui n’est pas lui m’indigne, et n’a pas le droit d’être ………………………………………… Puisque l’âme me sert quand l’appétit me nuit, Puisqu’il faut un grand jour sur ma profonde nuit 177. […] à quoi servent-elles ? […] Que sert de chicaner ses erreurs, son chemin, Ses retours en arrière, à ce nuage humain, A ce grand tourbillon des vivants, incapable, Hélas ! […] Cela serait pourtant bon si l’on savait s’en servir. […] Hugo et son œuvre sont simplement « monstrueux » l’un et l’autre : « Il est une force indomptable, un élément irréductible, une sorte d’Attila du monde intellectuel, … s’emparant de tout ce qui peut lui servir, brisant ou rejetant tout ce qui ne lui sert plus.