Je sautai dans l’espace libre et sentis seulement alors que j’avais des mains et des pieds. […] Toujours est-il que le moment arriva où Goethe sentit, ou crut sentir, que son cœur se prenait tout de bon. […] Comme j’irais dire tout ce que je sentais, ah ! […] Est-ce qu’ils sentent que, dans nos moments de bonheur, nous nous souvenons d’eux avec un ardent amour ? […] Il oublia son âge, il sentit courir dans ses veines l’ancienne flamme de Werther.