Mais, en même temps, il a un sentiment très vif de la réalité du fait, du phénomène concret, de l’être individuel. […] Mais ces affirmations optimistes viennent se heurter à un sentiment très général et très fort et dont elles ne peuvent triompher : nous savons bien que les choses ne sont pas aussi claires, si transparentes, si faciles à pénétrer. […] Il donne ainsi satisfaction aux deux sentiments contraires qui peuvent être regardés comme les moteurs par excellence du développement intellectuel : le sentiment de l’obscur et la foi en l’efficacité de l’esprit humain.