Il n’y a pas d’art véritable, il ne peut pas y en avoir sans appel à ces sentiments, parce que ces sentiments sont le fond même des aspirations de l’humanité. […] Où prendre les « sujets nouveaux » les « sentiments nouveaux » ? […] Une œuvre d’art a beau se distinguer par la nouveauté du sujet et des sentiments, si ce sujet et ces sentiments ne sont pas rigoureusement logiques et conformes au sentiment humain, l’œuvre d’art sera sans valeur. […] Les paroles provoquent en lui un sentiment, et c’est ce sentiment qui devient le véritable générateur de la composition. […] Mais combien maintenant ce sentiment pâlit vite !