Considérons le plus simple d’entre eux, le sentiment de la grâce. […] Ainsi les intensités croissantes du sentiment esthétique se résolvent ici en autant de sentiments divers, dont chacun, annoncé déjà par le précédent, y devient visible et l’éclipse ensuite définitivement. […] On soumettrait les sentiments moraux à une étude du même genre. […] James à affirmer que le sentiment de l’effort est centripète, et non pas centrifuge. […] JAMES, Le sentiment de l’effort (Critique philosophique, 1880, tome II).