La famille doit nous inculper les bons sentiments. […] Il ne nous a pas semblé qu’il eût le sentiment du péril que courent l’esprit français et la langue française. […] S’inquiétant des mêmes soucis qui agitent les esprits actuels, Sainte-Beuve disait notamment : « Ne pas avoir le sentiment des Lettres, cela, chez les anciens, voulait dire ne pas avoir le sentiment de la vertu, de la gloire, de la beauté, en un mot de tout ce qu’il y a de véritablement divin sur la terre : que ce soit là encore notre symbole.