Le sang de sa mère en elle se tempérait de sentiments plus doux et plus tendres qui lui composaient une sorte d’honneur. […] Ces poètes, en essayant de traduire les sentiments de Gabrielle, ne craignent pas d’employer les mots de chasteté et de pudeur, qui, dans leur langage, ne tirent pas à conséquence. […] [NdA] J’ai sous les yeux un pamphlet de quatre pages eu vers, intitulé Dialogue, composé le lendemain de la mort de Gabrielle, et qui exprime d’atroces sentiments de haine.