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1010. (1900) Molière pp. -283

Et cette joie, toute naïve qu’elle est, est touchante, car le sentiment est profond et sincère. […] Quand bien même il ne resterait sur terre que deux familles, ces deux familles recèleraient en germe toutes les combinaisons possibles de tous les sentiments contraires. […] Ce seul fait a modifié et transformé le sentiment fraternel aux deux époques ; il ne se ressemble plus du tout. […] Personne, quand il le fallait, n’a eu, autant que lui, de mesure dans l’expression d’un caractère et d’élévation dans les sentiments et les pensées ! […] Prince de Conti, Sentiments des Pères de l’Église sur la Comédie et les Spectacles.

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