L’enfer de feu, dans son intensité dévorante et les cent mille formes de son dévorement, aurait gagné en sublimité de désolation, si, par exemple, l’absence de lumière et l’invisibilité des uns pour les autres avaient été dans la sensation des damnés. […] L’ivresse qu’un tel livre cause est dans les sensations qu’il donne et le plaisir qu’il fait.