Mais je me sens poussé D’un souffle impétueux, d’un destin insensé. […] Je ne nie pas, d’ailleurs, que cette continuité de gaieté légère y soit en un sens un défaut. […] que Corneille, étant à sa manière de ces esprits extrêmes, ait abondé sans mesure dans son sens ? […] le délire des sens ! […] Nos sens en sont curieux.