Nulle trace de sentimentalisme ; mais, au contraire, un sens constant de la réalité, un sens qu’on devine maladif, tant il est subtil, incapable de se satisfaire aux plus spécieuses illusions. […] Leurs langues proféraient des mots qui n’avaient pas leur vrai sens : il y en eut un qui but à ma mort, voulant dire à ma santé. […] Il eut toujours un extraordinaire défaut de sens pratique. […] Mais c’est que la réalité, à y bien réfléchir, est un mot vide de sens. […] De là vient que leur sens nous échappe, et qu’elles nous semblent si belles.