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563. (1902) L’observation médicale chez les écrivains naturalistes « Chapitre II »

Il semble que son esprit ait pris la logique en haine. […] À cela, il me répondit par un gros rire railleur qui semblait me dire : “Est-ce assez bête à toi, de croire ça possible ! […] Une respiration ronflante comme une basse, coupée d’une plainte continue et râlante qui vous déchire… Du milieu de cette plainte jaillissent des mots, des phrases qu’on ne peut saisir, et parmi lesquels il me semble entendre : “Maman, maman, à moi maman !” […] 8 heures : Un cœur tumultueux soulevant comme les os et la peau de sa poitrine, et une respiration stridente qu’il semble tirer de son estomac… » Nuit de dimanche (19 juin) à lundi : « … Toute la nuit, ce bruit déchirant d’une respiration qui ressemble au bruit d’une scie dans du bois mouillé et que scandent à tout moment des plaintes douloureuses et des “han” plaintifs. […] Il semble que oui d’après un désir de sa correspondance.

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