Que toutes nos sensations se réduisent à des chocs, comme Spencer semble parfois le croire, on peut à bon droit le contester ; mais, ce qui est vrai, c’est qu’il y a des chocs dans toutes nos sensations, c’est-à-dire un ensemble de coups que nous subissons et dont nous apprécions l’intensité par la résistance plus ou moins grande ou le concours plus ou moins grand qu’ils apportent à notre activité propre.