Car, pour le fond et pour la forme, elle semble être le fait d’une race épuisée, débilitée et corrompue sans inspiration, sans grandeur, réduite à ne pas lever les yeux au-dessus d’elle-même, à se prendre pour unique objectif, à se mirer dans ses bassesses, ses` platitudes, ses vices, ses folies, ses hontes, voire même ses crimes s’attachant à ne faire ressortir des sujets qu’elle traite que les côtés scandaleux, grossiers, repoussants, jusqu’à ceux qui comprennent les servitudes viles et secrètes de la vie organique, appelées par les latins postscenia, et que, jusqu’ici, nous nous efforcions de dissimuler avec soin à la vue du monde, lequel, du reste, n’a rien à gagner à les voir, les connaissant pour son propre compte et par son expérience quotidienne. […] Il fit le procès-verbal minutieux, comme à la clinique, des vibrations les plus secrètes. […] Rompu au langage des tribunaux de commerce et à la rédaction des huissiers, les formules de papiers timbrés n’avaient plus de secrets pour lui. […] En somme, la nature ne permet pas qu’on pénètre ainsi ses secrets.