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709. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. LE COMTE MOLÉ (Réception à l’Académie.) » pp. 190-210

Mais il se trouvait, par bonne fortune, que le père de ce duc de La Trémoille avait épousé la petite-fille de Mme de La Fayette, l’auteur de la Princesse de Clèves, et le nouvel académicien, arrière-petit-fils de Mme de La Fayette par sa mère, se pouvait dire de la sorte petit-neveu (à la mode académique) de la Princesse de Clèves et de Zaïde. […] Je ne sais si Richelieu, qui aimait tant les ballets, et qui savait qu’on les aime en France, a pensé à cela en fondant l’Académie française ; mais il se trouve que c’est assez vrai103.

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