Il y aurait ici des observations très importantes à faire sur l’état où se trouvaient et l’empire romain en général, et le peuple juif en particulier, lorsque le christianisme est venu renouveler le monde. […] car, pour se trouver étranger, il n’était pas nécessaire d’être transporté sur une terre étrangère par la rigueur des événements, comme les Israélites sur les bords des fleuves de Babylone ; nous fûmes souvent, et plusieurs d’entre nous sont encore comme des voyageurs égarés sur le sol natal lui-même.