Il a fait de ce que nous appellerions le salon de la princesse Marie une description qui respire la félicité suprême ; il était parvenu au comble de ses vœux : Comme je logeais dans l’hôtel de Nevers, je ne me mettais pas en peine d’aller bien loin pour faire ma cour et pour voir le grand monde, si j’en eusse eu la curiosité, parce qu’il nous venait chercher de tous côtés ; et après la conversation qui se trouvait dans le cabinet de Mme la princesse Marie, il n’y avait plus rien à désirer en ce genre-là. […] Un mémoire écrit de sa main, et qui se trouve aux Manuscrits de la Bibliothèque impériale24, nous en apprend davantage. […] Tel qui se croyait alors bien supérieur à lui se trouve aujourd’hui de beaucoup son inférieur, au compte de la postérité.