Autrefois tout y préparait l’homme : c’était la plupart du temps hors du collège qu’il acquérait le meilleur de sa science, et le plus cultivé n’était pas toujours celui qui avait le plus étudié. […] On les gave de science, somnolents, inertes, passifs. […] Les programmes sont vastes, on n’en peut parcourir l’étendue que par les manuels faits pour dégoûter de la science et de la lecture à tout jamais.