« Son érudition abondante révélait tout de suite l’ancien moine… Son front, séparé en deux parties, non par une ride (il n’en a jamais eu), mais par un sillon très léger, renfermait (c’étaient ses propres paroles) d’un côté la science profane, et de l’autre la science sacrée. […] La science y est-elle ? […] La science paraîtra peut-être un mot bien lourd à la légèreté ailée d’Hippolyte Babou ; mais, à défaut de science, la conscience — la conscience littéraire, bien entendu !