Et c’était de l’esprit par traits, par aperçus, par monosyllabes, comme mademoiselle Mars en avait parfois à la scène. […] Ni Le Notaire de Chantilly, à scènes si grandiosement pathétiques et qui finit si mal pour avoir voulu trop bien finir.
Et c’était de l’esprit par traits, par aperçus, par monosyllabes, comme mademoiselle Mars en avait parfois à la scène. […] Ni Le Notaire de Chantilly, à scènes si grandiosement pathétiques et qui finit si mal pour avoir voulu trop bien finir.