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645. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. J. Autran. Laboureurs et Soldats, — Milianah. »

de me voir quitter par intervalle (ce n’est donc qu’un instant) les régions purement lyriques pour aborder le terrain de la réalité. » Et il ajoute, en chiffonnant une idée juste : « A l’origine des littératures, les scènes de la vie agricole et de la vie militaire constituent les plus fécondes sources d’inspiration (constituent une source, quelle poésie !)  […] sur celui de Molière qu’il énerve, affadit et disloque, tombe de dix degrés dans cette trivialité supportable et de ressemblance, à la scène, dans la bouche d’une servante comme Dorine ou d’un vieux bourgeois comme Gorgibus, mais devient dans un poème où le poète parle toujours, d’une incomparable platitude.

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