Villars, par ses lettres et par ses propos, y est toujours en scène ; c’est bien lui seul, et pas un autre, qu’on entend parler. […] Qu’il y ait dans tout ceci, et dans la manière dont Villars le raconte, un peu d’appareil, de mise en scène et d’air de gloire, qui en doute ? […] Pour le poète de théâtre, quel rêve que celui qui lui découvrirait le grand Corneille à l’œuvre, travaillant à une scène de Polyeucte ou d’Horace !