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404. (1883) Essais sur la littérature anglaise pp. 1-364

Une scène intercalée, la mascarade du quatrième acte, et le tour sera joué. […] Nous essayons de jouir de deux spectacles à la fois, celui de la scène et celui de la salle, et le plus instructif des deux n’est pas toujours celui de la scène. […] Nous n’oserions dire qu’il ait eu tort au point de vue de la scène. […] La scène, j’en conviens, ne s’accommode pas de ce dénouement. […] Tant pis pour la scène.

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