Vous diriez une figure d’André Chénier, passée du demi-jour de l’élégie à la lumière de la scène. […] La scène où il se laisse griser par Fabrice est une franche lippée d’esprit et de verve. […] Le dénouement, abrégé d’un acte, s’est allongé d’une belle scène. […] Cette scène sonne faux, d’un bout à l’autre. […] Je sais bien qu’elle amène une scène pathétique, mais à quel prix de refroidissement et d’invraisemblance !