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158. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « APPENDICE. — CASIMIR DELAVIGNE, page 192. » pp. 470-486

Le génie grec y domine : c’est tour à tour une scène à la façon d’Euripide, un petit tableau à la manière de Simonide, ou bien la mélancolie voluptueuse d’Anacréon, de Tibulle et d’Horace. […] A la scène, cela romprait à temps cette nuance estimable d’Odilon Barrot qui tient trop de place au fond de la pièce. […] La popularité est un thème qui revient là un peu formellement, et le vieux sir Gilbert, resté seul en scène avec son fils, achève de le clore. […] Delavigne, nous lui dirions d’oser être, à la scène, plus d’accord avec ses goûts, avec ses sympathies littéraires, qu’il ne se l’est accordé peut-être depuis quelques années. […] Un exemple éclatant140, sur la scène française, montre assez qu’en fait de goût littéraire le public n’a pas de parti pris.

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