L’histoire d’ailleurs a du vrai ; il y a de charmants portraits et des scènes excellentes. […] Il a surtout écrit avec prédilection pour la scène italienne. […] Marivaux fut du nombre des jeunes auteurs qui cherchèrent sur ce théâtre nouveau une variété et une légèreté de formes que ne leur permettait pas la scène française. […] Elle débute par une scène de raillerie et de satire du monde, où elle drape à ravir cinq ou six originaux qu’elle vient de quitter. Cette scène des portraits, en diminutif et sauf tout ce qu’on sait bien, en rappelle une célèbre du Misanthrope.