Ceux qui le connaissent savent assurément qu’il n’est ni fanatique ni superstitieux. […] Sait-on pourquoi les Grecs n’étaient pas sensibles, selon madame de Staël ? […] On dirait que, nouveaux dans la vie, ils ne savent pas si ce qui est pourrait exister autrement. […] » Avant la fin du siècle, il a pourtant paru cet homme dont la force sait détruire, et dont la sagesse sait fonder ! […] Et que d’idées morales les anciens savaient attacher à ces emblèmes poétiques !