Entendons-nous bien encore : je crois qu’en France on sera toujours sensible au bien dire, à un tour vif, sémillant, spirituel, à une manière fine et piquante de présenter les choses ; on sait et l’on saura assurément toujours la distinguer. […] Il faut savoir que M. […] Je conçois les colères des vaincus, je les excuse et je les respecte et je sais tel collègue de M. […] Elles l’emportent, sans le savoir, en se jouant. […] Cela lui est dû, il le sait.