L’esprit de cette époque ne saurait être ni lyrique, ni épique ; il va au théâtre. […] Villon n’a pas de disciples ; il n’en saurait avoir. […] La France, fécondée tour à tour par chacun de ses voisins, a toujours su rendre à tous ce qu’elle avait pris à l’un. […] Nous-mêmes, n’en faisons-nous pas autant, à l’égard de bien des contemporains, sans le savoir ? […] Nul ne sait ; ce serait une douleur à ajouter aux autres ; mais ne le plaignons pas… ; il sourirait, héroïque comme au soir de sa mort.