Veut-on savoir ce qu’étaient autrefois, au dire populaire, ces colossales statues de rochers, dressées par la puissante main de la nature, et auxquelles le montagnard du Jura a donné le nom de Dames d’Entreporte ? […] Arthur qui brûle pour Hermance Était renommé troubadour, Il possédait la gai-science Et savait beaux refrains d’amour. […] Alors, les dames aux abois, et n’ayant pour servant d’amour que l’Ennui, ne savent plus que devenir : « Autant vaudrait être cloîtrée !