Frédéric, même dans ses heures les plus littéraires, savait trop ce qu’il se devait à lui-même et à son rang pour s’exprimer ainsi. […] À cela près, nous vivons dans les ténèbres, et je dis de tout comme Montaigne : Que sais-je ? […] Je sais qu’en ce moment-là le plus éloquent consolateur n’est qu’un importun. […] Ce ne sont point là des supercheries innocentes, et l’on ne saurait y voir de simples jeux de l’esprit. […] Vous devez savoir mieux que personne que je ne sais point venger les offenses que l’on me fait.