On sait que l’Académie française substitua, il y a près de quinze ans, ces sortes d’éloges à ses anciens sujets. […] Qui sait où est la cendre de Corneille ? […] Que l’homme de mérite, éclipsé par l’intrigue, et persécuté par la haine, sache en mourant que son nom du moins sera vengé ! […] Je sais qu’il y a beaucoup de différence entre l’orateur qui parle, et l’écrivain qui ne doit être que lu. […] Celui qui, sans s’écarter, et en remplissant toujours son but, saura donc le plus semer d’idées accessoires sur sa route, sera celui qui attachera l’esprit plus fortement.