Le paysage de parcs et d’élégants cottages, les mœurs, les ridicules des ladies chasseresses ou savantes, la sentimentalité languissante et pure des amants, y composent un tableau achevé qui marque combien ce séjour en Angleterre a inspiré naïvement l’auteur. […] Le savant éditeur n’en a peut-être pas saisi le principal caractère et le Irait distinctif, quand il y voit surtout « la candeur d’un belle âme. » Mme de Souza, femme de monde si une et si peut-être qu’on le lui donnât par contraste et opposition avec son amie Mme d’Albany ; elle eût été étonnée à coup sûr qu’on la presque à titre de témoin à décharge sur le compte de cette dernière comme au criminel.